26 avril : Rassemblement ADGESSA
Rassemblement le vendredi 26 avril 2024 à 14h devant l’EHPAD de notre dame de bonne espérance à Bordeaux. Depuis l’année dernière, nos camarades élues CSE CGT de l’EHPAD de Notre Dame de Bonne Espérance subissent de la violence verbale et physique pendant leur travail mais aussi pendant l’exercice de leurs mandats syndicaux. A plusieurs reprises, elles ont été victimes de violence verbale comme par exemple : « Taisez-vous, vous n’êtes pas en CSE ou à la CGT des paroles d’une direction arrivée en octobre 2023…
Rassemblement le vendredi 26 avril 2024 à 14h devant l’EHPAD de notre dame de bonne espérance à Bordeaux.
Depuis l’année dernière, nos camarades élues CSE CGT de l’EHPAD de Notre Dame de Bonne
Espérance subissent de la violence verbale et physique pendant leur travail mais aussi pendant
l’exercice de leurs mandats syndicaux.
A plusieurs reprises, elles ont été victimes de violence verbale comme par exemple : « Taisez-vous,
vous n’êtes pas en CSE ou à la CGT des paroles d’une direction arrivée en octobre 2023.
La violence physique subie par une salariée de la part de la direction, en date du 18 décembre
2023 : « En voulant mettre en sécurité une résidente lors d’un déclenchement d’alarme incendie,
la salariée s’est faite agresser physiquement par sa directrice. Elles subissent un réel
acharnement de la part de la direction envers l’ensemble de la section CGT de l’établissement. »
aujourd’hui reconnu en AT .2 jours de mise à pied pour un militant récemment .
Les pressions incessantes sur leur lieu de travail les ont poussés à bout. Pour la plupart d’entre
elles et eux, ils sont en arrêt maladie ou en accident de travail pour « burn out », « pression de la
part de l’encadrement ». Cet encadrement toxique mis en place par la nouvelle direction a pour
fonction d’occuper les militants syndicaux ailleurs car l’association est en diicultés financières.
Plusieurs pétitions et ’envois de mail pour dénoncer cette attitude ignoble et infame sur les
salariés et sur les militantes ont été fait. Le dernier en date fut le dépôt d’un droit d’alerte fait par
la secrétaire du CSE en date du 20 février 2024 suite à plusieurs témoignages de salariés , pour
dénoncer un mal être profond et des conditions de travail qui se dégradent. Suite à cette
interpellation, la direction a botté en touche en argumentant le fait que ce droit d’alerte n’était pas
assez caractérisé.
Depuis des années, la CGT a toujours été majoritaire, ce n’est pas pour rien. La CGT a toujours été
présente pour l’ensemble des salariés mais aussi pour le bien être des résidents.
Nous ne laisserons pas la direction continuer cet acharnement ignoble envers tous nos
camarades de la CGT et l’ensemble des salariés de l’EHPAD Notre Dame de Bonne Espérance.
Nous nous organisons d’ores et déjà une mobilisation devant l’EHPAD Notre Dame de Bonne
Espérance contre la discrimination syndicale, contre ces mauvaises conditions de travail
dégradées qui mettent en danger la sécurité et le bon accueil des résidents.
